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Rédigé par Pierre Deman
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Le quiet quitting, un silence qui fait grand bruit

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Le « Quiet Quitting », ou démission silencieuse, est une tendance qui fait de plus en plus parler d’elle dans le monde du travail. Mais qu’est-ce que cela signifie exactement ?

Cela se résume à une attitude qui consiste à faire le strict minimum pour conserver son emploi, sans chercher à s’investir davantage ou à se développer professionnellement. Autrement dit, c’est un peu comme si l’on avait décidé de travailler avec des œillères, en ne se concentrant que sur ce qui est strictement demandé dans le contrat de travail.

Sans un bruit

Générations Z et Millénials, les rois du silence

Cette tendance est particulièrement observée chez les plus jeunes générations, qui ont été durement touchées par la pandémie et ses conséquences sur leur entrée sur le marché du travail. Pour eux, l’épanouissement professionnel et le développement de compétences sont des attentes légitimes, et le « Quiet Quitting » est une manière de protester contre un système qui ne leur offre pas les perspectives d’avenir qu’ils méritent.

Mais cette attitude peut avoir des conséquences néfastes pour les entreprises. En effet, elle peut entraîner une baisse de la motivation et de l’engagement des employés, ainsi qu’une perte de productivité et de compétences pour l’entreprise. Si l’on ajoute à cela la précarité de l’emploi et les difficultés à trouver un travail stable et bien rémunéré, on peut comprendre pourquoi le « Quiet Quitting » est en train de devenir un véritable phénomène de société.

Comment éviter le quiet quitting ?

Alors que faire pour que cela ne se produise pas chez vous ?

La première chose  est de prendre en compte les besoins et les attentes de vos employés, en leur offrant des perspectives d’évolution professionnelle, des formations et des opportunités de développement de compétences. Vous devez également veiller à reconnaître et à récompenser les performances de vos employés, afin de les motiver et de les engager davantage dans leur travail.

 

Mais cela ne suffit pas. Il est également important de créer un environnement de travail stimulant et gratifiant, en mettant en place des politiques de développement professionnel, de reconnaissance et de récompense pour les employés performants. Enfin, il est crucial d’avoir une culture d’entreprise qui valorise le travail bien fait et l’engagement des employés.

 

Si le « Quiet Quitting » est un phénomène qui peut sembler anodin, il peut avoir des conséquences néfastes pour les entreprises. En prenant en compte les besoins et les attentes de vos employés, en offrant des perspectives d’évolution professionnelle et en créant un environnement de travail stimulant, vous pouvez l’éviter.

Alors n’hésitez pas à prendre des mesures pour favoriser l’engagement et la motivation de vos employés, ils vous en seront reconnaissants !

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Le « Quiet Quitting » est une tendance croissante dans le monde du travail, caractérisée par une attitude consistant à faire le strict minimum pour maintenir son emploi sans s’investir davantage. Principalement observée chez les générations Z et les Millénials, cette attitude exprime leur mécontentement face à un manque d’opportunités professionnelles. Cependant, cela peut avoir des conséquences négatives pour les entreprises, telles que la baisse de la motivation et de la productivité.

Pour éviter le « Quiet Quitting », il est essentiel d’offrir des perspectives de développement, des formations, et de reconnaître et récompenser les performances des employés. De plus, la création d’un environnement de travail stimulant et l’instauration d’une culture d’entreprise valorisant l’engagement sont essentielles. En prenant ces mesures, les entreprises peuvent éviter les effets néfastes de cette tendance et favoriser l’engagement et la motivation de leurs employés.