La motivation est la clé de la performance de l’entreprise. Dans ce domaine, le manager a un rôle important à jouer. D’autant plus qu’il porte directement sur ses épaules l’efficacité de son équipe. Il doit donc d’abord se pencher sur son niveau de motivation comme sur celui de ses collaborateurs.
Le management c’est comme la chasse. Il y a le bon manager qui manage. Et il y a le mauvais manager qui manage.
Le rôle du manager est donc primordial pour assurer la performance de l’entreprise.
Et pour faire avancer l’entreprise dans le bon sens, il est important qu’il puisse analyser son propre niveau de motivation. Ce niveau rejaillit notamment sur la motivation de son équipe. Les deux aspects sont en effet étroitement liés. Et un manager démotivé sera généralement un manager démotivant.
Néanmoins, un manager motivé n’est pas systématiquement une source d’inspiration ou de motivation pour son équipe. Parfois c’est même l’inverse.
Alors comment améliorer tout cela ?
Par la communication.
La communication est la base de toute stratégie motivationnelle
La direction doit donc savoir communiquer avec les managers comme avec les autres collaborateurs. C’est par exemple à travers tout un travail orchestré autour de la GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois e des compétences) auquel doit s’appliquer le manager. Notamment avec les entretiens d’évaluation et les entretiens professionnels. Des évènements qui figurent au coeur de la politique de montée en compétence des collaborateurs au sein de l’entreprise. Une montée en compétence d’autant plus nécessaire qu’elle assure la performance de l’entreprise.
Ces éléments sont aussi le creuset de sa marque employeur, en formant notamment son EVP (Employée Value Proposition), proposition de valeur employés. Au sein de cette notion, figure entre autre la question de la formation des collaborateurs, y compris au management.
Il s’agit aussi de forger la capacité de l’entreprise à faire évoluer l’employabilité de ses collaborateurs. En motivant les managers en premier lieu pour motiver ensuite les autres salariés.
Voilà en quelques mots, un management responsable qui s’imbrique non seulement dans la responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE), mais dans la qualité de sa marque employeur. A la clé, on trouve tout naturellement un meilleur bien-être au travail, et une capacité de l’entreprise à fédérer l’ensemble des collaborateurs, à les fidéliser mais aussi à en séduire de nouveaux.
Sans communication active, difficile d’entretenir le niveau d’implication des équipes
La communication permet de montrer la croissance, la performance et les priorités à venir de l’entreprise. Et si l’on veut optimiser la performance de l’entreprise, il faut s’appuyer sur communication non plus pyramidale et uni-canal, mais sur une communication descendante et montante, afin de permettre aux salariés de s’exprimer. C’est la fluidité de l’information, sans barrières.
Être entendu est à la base de la qualité de vie au travail et donc à la base de la motivation des salariés.
Tous les canaux de communication peuvent donc être explorés pour cela : réunion, lettre d’information, intranet, dépliant, bande dessinée, films d’ambassadeurs et réseaux sociaux d’entreprise.
Mais aussi enquête interne, ou sondage afin de recueillir l’atmosphère.
Car sans analyse précise de l’existant, il est facile de proposer de mauvaises orientations qui n’apporteront aucune solution, ni à moyen ni à long terme. Voilà pourquoi, connaître les valeurs, connaitre l’ADN et la culture de l’entreprise, du board, des managers et des collaborateurs est essentiel pour apporter par la suite les meilleures solutions de communication.
D’où l’intérêt, souvent de mettre en place des outils d’audit, de focus group.
Dajm vous aide à sélectionner toute une palette d’outils, et à choisir celui qui répond le mieux à votre problématique. C’est notamment le travail réalisé pour Bouygues Telecom, “croissance et performance”. Et c’est bien cela, le management responsable.