Rédigé par Aurélie
| 5 min de lecture

L’IA le nouveau whisky des pionniers. L’histoire répétée d’une domination douce

Trooop long
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IA (intelligence artificielle) secoue les routines et favorise un changement profond de nos métiers et de nos pratiques au quotidien (vous l’avez lu cent fois). Beaucoup redoutent de perdre au pire leur métier et assurément leur repère dans tous les pans de leur vie pro ou perso. Le développement de carrière pique la curiosité. Quel va être mon métier demain ? Pourquoi devrais-je avoir confiance ? Autant de questions et de conseils nécessaires pour être sûr de bien gérer la suite et même la fin de sa carrière. Rien ne semble stable dans ce grand tourbillon numérique. Ici, on jette un regard impertinent sur ces courants. Les illusions volent en éclats. Cette histoire commence par un fracas.

La baffe de l'IA amuse la galerie dans un premier

Le vacarme digital réveille ceux qui somnolaient. Ce phénomène agite les couloirs du business. Certains adoptent un air ravi. D’autres feignent l’indifférence. Les entreprises subissent une marée d’algorithmes. L’habitude tremble. L’IA, ressemble au vieux whisky imposé aux peuples innocents, secoue la volonté. Le mythe du progrès vogue sans frein. Les codes ancestraux reculent devant ces promesses. Une dépendance s’installe. Personne ne brandit un traité de paix. On avance à tâtons. L’illusion persiste. La soif d’efficacité surgit. Les repères se troublent. Ici commence la flambée de la baffe.

Dégâts en série

Les experts racontent des effets inattendus. L’IA enclenche des bouleversements plus massifs que prévus. Les process se renversent. Certains doutent du libre arbitre. Bref (histoire d’être dans une trend réchauffée), nous sommes dans un moment qui nous fait douter de notre propre avenir.

La farce codée

Les lignes de code susurrent des promesses. La réalité pèse moins que l’algorithme. On sourit devant ce tour de passe-passe. Mais on ne sait pas par quel bout le prendre pour se rassurer et voir le positif. Tout le monde n’est pas logé à la même enseigne face l’innovation. D’ailleurs, un article sur les inégalités ne serait pas de trop.

D’ici 2039, 14% des emplois pourraient disparaître (disparaître ou évoluer).

Les illusions de l'IA se rebiffent

Le scepticisme ronge la façade triomphante. Certains voient un piège vieux comme le monde. L’IA ne fait qu’emballer de vieilles ficelles. Des travailleurs se heurtent à l’automatisation. Peu finalement d’entre nous brandissent le bouclier moral et social. Des voix murmurent que la déshumanisation avance. Le marché applaudit. Les talents s’évaporent. Les illusions cèdent sous la pression. Le collectif se délite. Cette grande parade amuse quelques barons. Les foules s’interrogent sur les dérives certes, mais surtout sur leur propre survie. Personne ne crie au loup, pourtant la frayeur monte. Des doutes s’installent. La confiance vacille. Le décorum s’effrite lentement. On sent un vieux parfum d’hégémonie, d’impérialisme 3.0. Rien ne rassure vraiment. Nous sommes tous face à un des plus gros défis de notre temps, la capacité d’adaptation à un rythme éffréné.

Synthèse grinçante

Les promesses s’étalent dans les médias. Les élites s’enorgueillissent. L’avancée algorithmique semble imparable. Derrière les sourires, une dépendance s’installe. Des familles consultent l’IA pour résoudre le moindre problème (j’en fais partie). Cette routine amuse les fanatiques du nouveau joujou. Les responsables politiques laissent faire, en croyant capter une manne économique, les législateurs sont à la traîne (du déjà-vu avec les Gafam). Le parallèle avec l’ancien whisky se précise. Les colonisateurs distribuaient de l’alcool pour mieux pénétrer les cultures. Les géants du numérique rôdent dans les espaces professionnels. Ils imposent la mise à jour continue. La marge de manœuvre se réduit. Les codes disparaissent. Le grand puzzle de l’autonomie s’effrite. On se gausse, pourtant la gravité demeure, celle de se laisser déborder, de ne pas saisir les opportunités qui s’offrent. Les consultants facturent des solutions magiques. Les réseaux sociaux vous montrent des « prompts » aussi inefficaces que divertissant. Les apprentis gourous vantent l’excellence technique. Ce théâtre alimente un nouvel impérialisme, feutré mais tenace. Les postes se transforment. Le management adopte la posture du tout-IA (en soit rien de grave si l’on accompagne les salariés dans une montée en compétence qui sert l’entreprise et le personal branding). Des formations fleurissent. Les travailleurs suivent un sentier balisé. Les risques de standardisation explosent.

Accroc massif

Des enjeux éthiques agitent le débat. Certains redoutent la mainmise sur la pensée. L’hégémonie numérique avance à pas légers. L’absence de garde-fous fragilise l’équilibre. Les entreprises s’enferment dans une spirale d’optimisation. Les salariés perdent la maîtrise de leur destin alors qu’une opportunité sans précédent s’offre à eux (encore faut-il avoir l’envie et la capacité).

Ruse silencieuse

Les illusions se répandent dans le tissu social. Les usagers s’abreuvent d’assistants virtuels. Le rapport de forces se décale. Les acteurs indépendants peinent à exister. Les décisions stratégiques se prennent sous l’œil mécanique. L’idée d’une émancipation recule. Le confort intellectuel séduit. Le whisky numérique capte l’attention. On s’éloigne d’une approche libre de l’innovation. Les opportunités existent, pourtant la dépendance s’accroît. Un mouvement open source tente parfois de renverser la table. Les leviers semblent limités. La dynamique impériale prospère. Les écrans affichent un optimisme qui peut sembler trompeur. Les sceptiques reçoivent peu d’écho. Les illusions triomphent sous les projecteurs. Ce schéma rappelle de vieux scénarios. Les conquérants avancent, persuadés d’accomplir un grand dessein. L’arrière-boutique recèle un appétit grandissant pour les données. L’avenir dérive sur un fleuve d’algorithmes.

Difficile, devant une telle puissance de frappe, d’imaginer une réponse crédible pour contrer cet impérialisme technologique.

Un portrait de l'IA au vitriol pour un croche-patte salvateur

Une impulsion positive émerge. L’IA n’emprisonne pas tout le vivant. Des collectifs explorent la voie d’un usage raisonné. Le concept d’autonomie numérique circule. Cette piste invite à réévaluer nos dépendances. Des ingénieurs conçoivent des algorithmes plus transparents. Des partenariats s’organisent pour briser les verrous privatisés. Cet élan renoue avec l’esprit du partage. Les illusions reculent devant l’humain volontaire. Les barrières techniques n’effacent pas la volonté d’agir. On observe des noyaux de résistance qui bricolent des solutions alternatives. Les illusions initiales vacillent. La liqueur numérique peut se consommer avec modération. L’ivresse n’apparaît pas inévitable. Les précédents historiques laissent un espoir. Les cultures dominées ont parfois su détourner l’arme imposée. Cette perspective s’applique à l’IA. Personne ne détient la vérité. L’innovation n’a pas un destin figé. Les choix collectifs et individuels peuvent façonner l’outil. Le sarcasme ambiant ne doit pas écraser la volonté de créer une autre trajectoire.

Coup de balai

Les initiatives locales démontrent qu’un usage mesuré apporte de la valeur. Les données s’échangent sous des licences libres. L’économie traditionnelle reprend des couleurs. La modernité n’est pas condamnée. L’IA suit une courbe que toute évolution suit. Avec toutefois, une flamboyance inégalée. l’IA n’est pas une fatalité mais un outil permettant de faire évoluer son propre parcours. Auparavant, nous étions contraints à nos propres parcours, et tracés de vie. Nos croyances sur nos capacités, nos œillères faces à notre propre limite. Avec l’IA, nous pouvons nous extraire du carcan social et professionnel dans lequel nous nous sommes nous-mêmes installé.

Clin d'œil durable

Des cercles citoyens, des pros de l’IA intègrent l’humain pour rendre l’IA audible, et surtout le remettre à sa place au côté de chacun et non contre ou en avant. Nous pouvons nous former pour sortir de la passivité. L’action n’est pas réservée aux grands groupes. Les solutions se co-construisent. Le digital peut redevenir un allié. On parle d’un élan collectif, loin de l’ivresse impérialiste. Les sentiers se multiplient. L’IA se dompte par la lucidité. Les illusions reculent. Le whisky algorithmique ne nous réduit pas en esclavage, si la vigilance persiste. On avance avec détermination, sans renier l’audace. La route reste ouverte.

La gazette
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Trooop long
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L’IA secoue l’ordre établi et propulse un changement métier. Le développement de carrière suscite des questionnements. Les conseils carrière émergent dans ce tumulte. L’article explore les rouages cachés. Il évoque l’analogie entre l’alcool imposé autrefois et cette vague algorithmique. Les illusions s’effondrent. La dépendance numérique menace la liberté. Pourtant, une impulsion collective apparaît. L’innovation peut se déployer sans asservir. L’espoir tient à la lucidité de chacun. Les initiatives locales dessinent une autre voie. L’IA n’enferme pas tout le vivant. Les forces s’organisent et défient la domination imposée. Le pari repose sur la vigilance.