changement technologiques ; mutation du monde du travail ; résilience face aux évolutions
DAJM-ARNAUD-directeur associé &
création ux/ui
Rédigé par Arnaud
| 4 min de lecture

C’était mieux avant, ou l’hymne des réfractaires ?

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Trooop long
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« C’était mieux avant », ce refrain qui tourne en boucle comme un vieux disque rayé (vous savez, ces trucs antiques avant Spotify). Entre l’avancée technologique qui effraie les moins audacieux et la résistance au changement, la peur du progrès semble être devenue le dernier sport national Et pendant que certains crient au danger imminent, d’autres accueillent chaque nouveauté avec la ferveur d’un Black Friday devant un Apple Store.

L’innovation ce « doute » des nostalgiques du c’était mieux avant
La peur du nouveau chez les champions de la routine

Malgré les progrès technologiques, une partie non négligeable des entreprises françaises préfère ignorer l’innovation. Certains individus, profondément attachés à leurs habitudes confortables ou plutôt rassurantes, voient toute nouveauté comme une menace personnelle (on parle surtout de l’IA ici). Entre 2020 et 2022, 46 % des entreprises ont été innovantes au sens large, laissant ainsi 54 % des sociétés encore réticentes à adopter des innovations technologiques.

L’immobilisme sécurité illusoire des timorés

Beaucoup pensent que l’inertie garantit la sécurité. Pourtant, cette peur maladive du changement expose entreprises et individus à des risques bien plus grands, notamment celui d’être dépassés par une concurrence dynamique et innovante. Résister au progrès technologique, c’est se condamner à l’obsolescence.

C’est joli, le progrès ? Demain, quand on offrira un livre à un gamin, il le tournera dans tous les sens pour savoir où il faut mettre les piles.

L’innovation ce faux ennemi des entreprises et salariés
Regarder ailleurs si vous voulez, mais les bénéfices sont là

Adopter des technologies nouvelles paraît risqué, mais les bénéfices sont tellement nombreux et démontrés. Les entreprises qui saut le pas voient leur productivité et leur créativité bondir. Celles qui investissent intelligemment (jeu de mot avec l’IA encore) dans la formation pour accompagner ces changements obtiennent une adoption accrue de 20 à 30 %. Et l’adoption se traduit par une employabilité elle aussi grandie.

Transformer la trouille en levier de croissance

Plutôt que d’être paralysées par la peur, les entreprises et les salariés peuvent exploiter cette énergie pour progresser, monter en compétences et s’offrir des opportunités nouvelles. En identifiant les sources de résistance et en mettant en place des stratégies adaptées, elles peuvent transformer ces défis en avantages concurrentiels. Par exemple, comprendre les raisons sous-jacentes de la résistance, telles que la peur de l’inconnu ou la perte de repères, permet de mieux accompagner les employés dans le processus de changement.

L’IA signifie de meilleurs rôles, l’élimination des tâches laborieuses et une amélioration du bien-être des employés.

Arrêtons la psychose du changement technologique
Le progrès, l’ennemi qui vous veux du bien (j’ai tremblé en écrivant ce titre)

Il est temps de démystifier l’innovation. Elle n’est pas l’ennemi, mais plutôt une alliée potentielle. Les entreprises qui l’ont adoptée témoignent des bénéfices tangibles, tels qu’une meilleure efficacité opérationnelle et une compétitivité accrue. Par exemple, une étude a montré que les entreprises ayant une stratégie d’innovation claire et des processus établis sont trois fois plus susceptibles de réussir dans leurs initiatives innovantes.

Rester immobile le vrai danger

Ne rien faire est souvent plus risqué que d’innover. Les entreprises qui refusent le changement s’exposent à l’obsolescence et à la perte de parts de marché. Comme le souligne une analyse, les entreprises établies qui n’adoptent pas l’innovation technologique peuvent être dépassées par des concurrents plus agiles et innovants.

Un peu de concret, des exemples d’application d’IA qui pourraient vous convaincre d’agir

  • Ressources humaines – Chatbots IA entraînés à votre culture, vos pratiques pour répondre aux questions fréquentes des collaborateurs en temps réel.
  • Automatisation des tâches administratives – Nous les appelons les “dirty tasks”.
  • Recrutement – Logiciels prédictifs d’analyse de CV facilitant la sélection initiale des candidats Attention y a des malins qui savent utiliser à leur avantage cette méthode.
  • Aide à la prise de décision – Peut vous fournir des recommandations stratégiques pour votre entreprise, votre carrière, votre diner du soir,… le tout est d’être créatif.
  • Formation – Plateformes adaptatives utilisant l’IA pour personnaliser vos parcours de formation.
  • Optimisation des plannings – On est d’accord que ça peut être une tannée de préparer les planning en fonction des contraintes de chacun. L’IA optimise les plannings en tenant compte des contraintes géographiques, compétences requises et disponibilités, réduisant les temps de trajet et améliorant l’efficacité.
  • Bien-être au travail – Applications d’analyse des sentiments via l’IA pour détecter les risques psychosociaux. L’humain sera toujours nécessaire, mais repérer les signaux faibles est capital (Crucial comme dirait ChatGPT).
  • Création de contenu – Ah non ! Ça c’est nous.
  • Et la liste est infinie…

Alors convaincu de passer de l’humain à l’humAIn ?

Gimme
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Trooop long
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De nombreuses entreprises françaises manifestent une résistance à l’innovation technologique, freinant leur transformation numérique. Cette peur du changement limite l’adoption de l’intelligence artificielle, pourtant essentielle pour améliorer la compétitivité et bénéficier des avantages de l’innovation technologique.